vendredi 17 février 2012

Affaire Vanneste « la fameuse légende de la déportation des homosexuels »


Après ses déclarations sur la « la fameuse légende de la déportation des homosexuels », le député UMP du Nord Christian Vanneste (Droite Populaire)




a reçu le soutien de Serge Klarsfeld mercredi 15 février et celui de... Eric Zemmour sur RTL, jeudi 16 février au matin. Le député du Nord va être néanmoins exclu du parti présidentiel et perdre son investiture aux législatives pour avoir « nié » la déportation d'homosexuels français durant la Seconde Guerre mondiale.


Eric Zemmour : "Vanneste, les homos, la... par rtl-fr


Le ministre gay de Pétain

« A Vichy, le discours officiel  était moralisateur », mais « la réalité était toute autre ». Et là de citer Patrick Buisson et son ouvrage sur Histoire de l'érotisme sous l'Occupation. « La vie sexuelle était alors très débridée. Jean-Paul Sartre dira plus tard qu'on n'a jamais été aussi libre que sous l'Occupation. La soldatesque allemande avait fait de Paris son repos préféré du guerrier, pour les femmes comme pour les hommes.(...) Dans les hautes sphères du pouvoir les homosexuels n'étaient nullement ostracisés. A Vichy, le ministre de l'Education nationale de Pétain Abel Bonnard était surnommé « Gestapette ». Au sein des intellectuels et des artistesles homosexuels n'étaient pas les derniers à être fascinés par l'image de statue grecque qu'offrait la propagande nazie des soldats allemands. » Le polémiste déclare que rappeler ces faits n'est pas faire œuvre de haine mais « simplement un rappel historique ». Pour Eric Zemmour la décision de l'UMP  en fait un parti aux pratiques staliniennes.

Un soutien moral de poids : le chasseur de nazis Klarsfeld

Mercredi c'est autre un soutien qui s'est porté au secours du député du Nord. Serge Klarsfeld, président de l'association des fils et filles de déportés juifs de France, avait réagi en assurant qu'il n'y avait pas eu, à sa connaissance, « d'homosexuel déporté de France » vers l'Allemagne pendant l'Occupation. Le président de la FFDJF a assuré qu'il ne connaissait pas Christian Vanneste. « Parmi les déportés, il y avait des homosexuels mais ils ont été déportés comme Juifs, résistants ou droits communs », a ajouté Serge Klarsfeld. Il a précisé que des homosexuels avaient été emprisonnés par Vichy en raison des lois édictées par l'Etat Français contre les homosexuels.

Christian Vanneste ne s'excusera pas

Christian Vanneste ne veut pas s'excuser comme il l'a expliqué auprès de Grand Lille TV. Il estime seulement avoir été mal compris. Pour entendre ses propos et comprendre ce qu'il a déclaré dans son intégralité sur libertepolitique.com vous pouvez retrouver la vidéo ci-dessous. Critique de l'homosexualité et de son narcissisme, de la forte présence de cette sexualité dans les médias, au cœur du pouvoir même...

FORMATION DES PRÊTRES


LUXEMBOURG - Mgr Jean-Claude Hollerich, archevêque de Luxembourg, veut inculquer aux séminaristes une vue «positive» de la sexualité pour éviter au maximum les risques d'abus sexuels.


Évêques et experts réunis au symposium de Rome sur la pédophilie ont reconnu les graves lacunes de formation affective des prêtres, et préconisé une sélection rigoureuse et une solide «formation humaine» pour éviter la répétition des abus sur mineurs. Le plus important, selon Mgr Jean-Claude Hollerich, archevêque de Luxembourg, c'est que les prêtres soient formés à avoir «une vue très positive de la sexualité, et ne la voient pas comme un danger». Interview.

Quel type de séminaire doivent trouver les jeunes candidats au sacerdoce?
Mgr Jean-Claude Hollerich:Quand les jeunes entrent au séminaire, le processus de maturation vers l'âge adulte n'est pas encore terminé. Il faut qu'ils y trouvent une atmosphère de famille pour que ce processus puisse continuer. J'ai peur que dans de grandes institutions, ce processus soit freiné ou interrompu. Il faut d'autres structures, des expériences plus humaines.
Quel doit être le contenu de la formation?
En général, les études ça marche bien. C'est le niveau humain qui ne suit pas. Il faut prévoir plus de stages, par exemple dans des cliniques, mais les stages ont seulement du sens quand ils sont accompagnés. Il faudrait avoir des stages pendant tout le séminaire. Le fait qu'il y ait moins de séminaristes en Europe est une chance pour personnaliser la formation. Des cours d'éducation (sur la sexualité et l'affectivité) sont nécessaires justement pour que les jeunes ne soient pas gênés pour poser des questions. Ils ont besoin d'une direction spirituelle. Elle doit continuer après le séminaire pour les jeunes prêtres qui commencent. Ils ont été dans un milieu très protégé et, tout à coup, il n'y a plus rien.


Les séminaristes d'aujourd'hui sont-ils mûrs? Ceux qui ne le sont pas ne devraient-ils pas choisir la vie de couple hétérosexuel ou homosexuel?
J'ai l'impression que beaucoup de séminaristes ne sont pas encore conscients de leur sexualité, ils promettent le célibat avant de la découvrir. C'est très dangereux parce qu'il faut justement les aider à sublimer leur sexualité au service des autres et de l’Église. L'importance du combat spirituel, une tradition ascétique de l’Église, doit aussi leur être enseignée. Les degrés de maturation sont très différents de personne à personne. Des jeunes de 20 ans peuvent avoir une grande maturité, d'autres à 30 ne l'ont pas encore: alors, il faut les refuser. L'important, c'est l'authenticité. Les gens mariés souffrent de l'infidélité des prêtres. Avec le grand appel à la réévangélisation de l'Europe, il faut des gens solides. Il faudra que les prêtres aient une vue très positive de la sexualité, qu'ils ne la voient pas comme un danger uniquement. Comment peut-on bénir un mariage si on a une vue négative de la sexualité? Pour les prêtres homosexuels, là aussi, il faudrait en parler, et leur dire clairement que le prêtre, même s'il est homosexuel, a les mêmes devoirs de célibat qu'un autre.

mardi 14 février 2012

Une école de la fellation au Japon

Au Japon on n’a pas peur du ridicule surtout à la TV et la dernier concept à la mode est une école de la fellation pour apprendre aux jeunes filles à bien sucer les bananes









Au Japon on n’a pas peur du ridicule surtout à la TV et la dernier concept à la mode est une école de la fellation pour apprendre aux jeunes filles à bien sucer les bananes.



vendredi 10 février 2012

Porno : le piratage bientôt légal aux USA ?




Le piratage de films pornos est-il illégal ? C’est la ligne de défense de Liuxia Wong, une Américaine accusée d’avoir téléchargé un film classé X sans passer à la caisse.

Le studio Hard Drive, spécialisé dans la réalisation de films pornos amateurs, a traduit en justice cette internaute californienne pour avoir piraté son film « Amateur Allure Jen » via les réseaux BitTorrent. Liuxia Wong se défend d’avoir commis un tel acte. Néanmoins, attaqué en justice, elle a choisi de répondre au coup pour coup. Avec une ligne de défense incisive, elle escompte bien mettre en péril le fond de commerce de Hard Drive qu’elle qualifie d’obscène.

Elle ne demande pas de dommages et intérêts, mais simplement une réponse à la question : est-il illégal de télécharger des films pornos ? Pour cela, elle s’appuie avec son avocat sur l’article de la Constitution américaine définissant les droits d’auteur. Pour qu’ils soient perceptibles, la production doit « promouvoir le progrès de la science et des arts utiles. » Des valeurs assez éloignées d'un film à caractère pornographique selon l'accusée.

Mettant en parallèle ce point légal et la nature des productions de Hard Drive, la défense de Liuxia Wong explique que « le travail d’Hard Drive ne promeut pas le progrès de la science ni les arts utiles. » De surcroit, elle allègue que les méthodes de travail du studio de production pourraient même être illégales. En payant des non-professionnels pour faire de la pornographie, il violerait plusieurs lois contre le proxénétisme, le racolage et la prostitution.

Pour l’instant, Hard Drive a demandé à la cour de reporter le procès.

Liuxia Wong qualifie d’obscène le fond de commerce de Hard Drive .alors pourquoi  télécharge - elle un film classé X?


jeudi 9 février 2012

"Rihanna est un fantasme pour les lesbiennes"


Cee Lo Green s'est récemment exprimé à propos de Rihanna. Le chanteur, juré dans The Voice avec Christina Aguilera, a encensé la "sexualité libérée" de la Princesse de la Barbade. Cee Lo Green a confié à Esquire : "J'ai tourné avec Rihanna et j'ai remarqué qu'elle était suivie par la communauté lesbienne. Il y a des lesbiennes à tous ses concerts. Rihanna leur plaît car elle n'hésite pas à se lancer dans des chorégraphies fille sur fille. Son show est très classe et en même temps très sexuel. Et j'adore ça ! J'aime les femmes agressives et désinhibées. Elles m'excitent !". Chaud bouillant le gros Cee Lo ! Mais Cee Lo Green n'est pas le seul que Riri excite. Jessie J s'est lancée pour défi d'embrasser Rihanna sur scène dans un futur proche.

mercredi 8 février 2012

Une institutrice trop libertine licenciée par la direction

Trop bavarde sur sa sexualité, une institutrice britannique a été licenciée par la direction de son établissement après la découverte sur son profil Facebook de propos jugés indécents.


Elizabeth Scarlett enseignait jusqu'il y a peu dans une école primaire du Pays de Galles. Selon le quotidien britannique The Sun, certains commentaires sexuellement explicites auraient été publiés sur le profil de l'institutrice au point de susciter l'indignation de ses collègues, doublement scandalisés par les faits, en raison de la présence d'un grand nombre de mineurs et d'élèves de l'institutrice au sein de sa liste de contacts. Au retour d'un voyage de l'enseignante en Afrique, les commentaires auraient pris une tournure plus indécente: "Je me bourre la gueule, je fais la fête et je me tape des mecs". L'institutrice serait en outre accusée d'avoir évoqué en ligne son attirance pour certains types de vibromasseurs sophistiqués, sans manquer de les décrire minitieusement au passage. Choqué par ces propos inappropriés et l'attitude déplorable de son employée en dehors de l'établissement, le directeur de l'école n'a pas hésité à licencier l'institutrice sur le champ. Elizabeth Scarlett se défend quant à elle d'avoir personnellement composé ces messages et accuse son ex-mari d'en être l'auteur.

Objets érotiques ou porno les sex toys ?


C'est la nuance que doit trancher mercredi le tribunal correctionnel de Paris. La justice est saisie par des associations catholiques contestant l'installation d'un sex shop près d'une école.





Rien de cochon dans la devanture, pas même des canards. La boutique "1969 - Curiosités désirables" est une enseigne discrète située à deux pas du Centre Pompidou. Les magasins voisins vendent des vêtements ; elle, des objets de plaisir dans un décor raffiné : huiles de massage, lingerie haut de gamme, menottes en plumes, coins-coins coquins... Bref, résume le site, "des accessoires pour pimenter votre vie sexuelle, nourrir vos fantasmes et découvrir de nouvelles sensations dans un esprit convivial, sexy et terriblement gourmand". Si l'échoppe offre manifestement tout pour émoustiller les "amoureux et les curieux avides de sensations coquines", elle hérisse le poil de deux associations catholiques. La Confédération nationale des associations familiales catholiques (CNAFC) et l'association CLER Amour et Famille l'assignent en justice ce mercredi.


La raison de leur courroux : la boutique polissonne est située à proximité d'une école et d'un collège et n' oublions pas " en face d une église."  Le hic : la loi sur la protection de l'enfance de 1987, réformée en 2007, interdit "l'installation à moins de 200 mètres d'un établissement d'enseignement, d'un établissement dont l'activité est la vente ou la mise à disposition du public d'objets à caractère pornographique". La boutique "1969 - Curiosités désirables" est située à 90 mètres de l'école Saint-Merri. Pour les deux associations, en vendant des "des vibromasseurs, des boules de geisha, des chaînes anales, des 'cockrings'" (anneaux de pénis, NDLR.), comme elles le détaille, le magasin enfreint la loi. L'infraction est passible de deux ans de prison et 30.000 euros d'amende.


Mais la partie est loin d'être gagnée pour les deux associations, la loi ne définissant pas clairement ce qu'est un «objet pornographique». Pour la respon­sable de la boutique, Valérie Lévy, il n'est question, au 1969, que d'érotisme. «80% de notre clientèle est féminine. Nous ne sommes jamais dans la vulgarité.»

La commerçante en veut pour preuve la vitrine du magasin - interdit aux mineurs, simplement composée d'un fauteuil noir enrubanné et de cœurs en papier. «Contrairement à ce que les associations racontent, nous n'avons jamais exposé de sex-toys en vitrine. Et nous n'avons jamais eu, depuis notre installation ici en 2008, de plainte de voisinage», assure-t-elle. Avant de laisser entendre que les associations chercheraient surtout à récupérer de l'argent dans cette affaire. «Ils demandent 40.000 euros de dommages et intérêts, c'est beaucoup, non?»

Pour l'avocat du gérant de la boutique, 
l'endroit ne vend rien de pornographique. "Ce n'est pas un sexshop, c'est un love-shop, nuance Me Richard Malka à TF1 News. Il n'y a rien de sulfureuxni cabine vidéo, ni publication pornographique... C'est coquin, ludique, plutôt glamour et 70% de la clientèle est féminine." L'avocat dénonce "un procès d'un autre temps", une "nouvelle immixtion du religieux dans la société civile ". Selon lui, "lessex toys sont aujourd'hui complètement acceptés dans la société". "Il n'y a pas un magasin féminin qui n'en parle pas, ils sont vendus à la Redoute, aux trois suisses, chez Sonia Rykiel, des dizaines de films s'en amusent, Sex in the city, par exemple, détaille-t-il avant de soupirer avec une once d'humour. Y a pas de quoi casser trois pattes à un canard". Me Malka parle encore d'"une hypocrisie absolue à poursuivre cette boutique discrète à la vitrine quasi opaque." "On est à des années lumières des représentations sexuelles qui figurent sur les kiosques à journaux, dans chaque rue de Paris !", tonne-t-il.

Il estime enfin que la loi pour laquelle est jugé son client est anticonstitutionnelle car contraire à la liberté de commerce. "Il n'y a pas un périmètre de 200 mètres à Paris, où il n'y a pas un établissement d'enseignement, affirme-t-il. Si la loi était interprétée comme le réclament les parties civiles, il ne pourrait plus y avoir de vente de sex toys à Paris, on devrait fermer tous les établissements qui en vendent, et notamment les Galeries Lafayette ou encore les dépôts de la Redoute! Et Paris deviendrait la seule capitale du monde occidentale où leur vente serait interdite, c'est hallucinant !" Il a déposé une Question prioritaire de constitutionnalité (QPC) à ce sujet.

L'église se préoccupe de la sécurité de nos bambins moi je n'en suis pas si certaine! 


Ne serrait ce pas le fait que la boutique soit juste en face de l'église ?


L'église ne ferait elle pas mieux de s'occuper de ses prêtres pédofiles ? 



vendredi 3 février 2012

Scandaleux de censurer l'affiche du film Les Infidèles !

Dujardin et les affiches de son film Les Infidèles font scandale


Plusieurs affiches du prochain film de Jean Dujardin, ''Les Infidèles'', sont jugées choquantes par certaines féministes.






Les Infidèles - bande-annonce HD par sortiescinema

Ainsi deux plaintes ont été déposées auprès de l’Autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP), organisme chargé de contrôler les messages publicitaires, rapporte Le Parisien ce jeudi. « Notre jury de déontologie ne s’est pas encore réuni car les plaintes viennent d’arriver. (…) Mais nous estimons déjà que cette campagne est contraire aux règles sur l’image de la personne humaine, bien qu’elle se rapporte au sujet du film, qui est une comédie sur l’adultère. A titre préventif, nous avons d’ores et déjà conseillé à JC Decaux, qui s’occupe de l’affichage public, de retirer les panneaux. Si le jury de déontologie suit notre avis, ils seront de toute façon obligés de le faire », déclare au journal le directeur général de l'ARPP, Stéphane Martin.

Les annonces ont été placées dans la rue le lundi et devaient se retirer une semaine plus tard, mais les accusations "calomnieuses contre les femmes» et «macho» que plusieurs associations avaient présenté à l'Autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP ), cette institution a décidé de les retirer préventivement. Dans un article paru dans L'Express, il est supposé que le scandale médiatique qui a soulevé les affiches peuvent traverser les frontières (et ce matin écho Hollywood Reporter à Los Angeles) et nuire aux chances de Dujardin à la cérémonie des Oscars qui sont livrés le jour 19. Rappelez-vous la publication du dommage à la candidature de Gérard Depardieu en 1991 signifiait un article dans le temps qui y est fait allusion à un viol présumé qui aurait participé à la jeune, quelque chose pour une autre peu probable, à la date visée à l', l'acteur avait ... neuf ans.













Manger «gay» pour rester mince?


Les hommes homosexuels sont-ils plus minces que les hétéros? Ça ne fait aucun doute pour Simon Doonan. Dans son plus récent livre, Gay Men Don't Get Fat - qui est tout sauf un guide pour maigrir! -, il lance des explications tantôt farfelues, tantôt justes sur la sveltesse des gais. Au-delà des clichés, qu'en est-il?
Simon Doonan n'est pas nutritionniste. Il est pilote de style et porte-parole de la chaîne Barneys. Il a été columnist pour The New York Observer pendant 10 ans. On le sollicite de toutes parts pour commenter la mode, de la robe de mariage de Kate Middleton au tapis rouge des Oscars. Faire dans la dentelle? Pas son genre. Son humour est grinçant et irrévérencieux, et son langage, plutôt cru.
Dans Gay Men Don't Get Fat, il avance qu'il existe seulement deux groupes alimentaires: les aliments gais et les aliments hétéros. Dans une entrevue accordée au New York Times, il illustre sa pensée: «Les chips gaies sont cuites au four, les chips hétéros sont frites.» On doit consommer un savant mélange des deux pour garder sa ligne, conseille-t-il. Les mets gais par excellence? Les macarons. Les sushis aussi. À l'inverse, la cuisine mexicaine est totalement hétéro. Tout comme les barbecues, alors que l'on y consomme compulsivement du guacamole et de la bière... avant le repas! «Savent-ils au moins combien de calories et de gras ils ingèrent?» écrit-il sur un ton paniqué.
Les gais, avance-t-il, sont minces parce qu'ils ont moins d'obligations et plus de temps libres, d'où leur abonnement VIP au centre de conditionnement physique. Ils occupent souvent des professions «brûleuses de calories». Suivez un coiffeur ou un designer de vitrine avec un podomètre, suggère-t-il. L'auteur des best-sellers Wacky Chicks et Nasty (à l'origine de la série télé Beautiful People) propose une enfilade de clichés - il ne s'en cache pas - et une bonne dose d'ironie et de dérision (inclure ici autodérision).
La quête du corps parfait
Les hommes homosexuels sont-ils réellement plus minces? Oui, répond Bernard Lavallée, nutritionniste montréalais et auteur du blogue Gay Nutrition (gaynutrition.ca). «Les recherches sur la question sont peu nombreuses et les échantillons étudiés, petits, mais on remarque que les hommes homosexuels ont tendance à avoir un indice de masse corporelle (IMC) moins élevé que les hétéros», explique-t-il.
Plusieurs facteurs entrent en compte. «Les hommes homosexuels accordent davantage d'importance à leur apparence corporelle. Ils en sont plus préoccupés et, en même temps, moins satisfaits de leur corps. La quête du corps parfait, mince et musclé, serait plus accentuée chez eux.» Dans un extrait de la série télé American Dad, Greg, le voisin homosexuel, illustre bien cette réalité. Il souhaite maigrir et confie: «Le brunch est mon unique repas de la journée. Je suis gros pour un gai. Mince pour un hétéro, mais gros pour un gai.»
La pression vient d'une part de la communauté gaie elle-même, selon Bernard Lavallée. «Dès qu'ils vont dans les clubs gais, les homosexuels se sentent jugés sur leur apparence par tous. Est-ce le cas des hétéros qui sortent dans les bars? Les hommes gais déclarent aussi regarder plus de pornographie et seraient donc plus exposés à des modèles de corps parfaits.» Ils pensent, à tort, que pour avoir une vie sexuelle épanouie, ils doivent être des Adonis.
Les entreprises, qui ciblent de plus en plus la clientèle gaie, n'hésitent pas à «faire de l'homme un objet», ajoute le nutritionniste. Sur son blogue, il critique une publicité pour les sous-vêtements Andrew Christian. «Je pense que les hommes gais sont les consommateurs numéro un de sous-vêtements chers. Comment pouvez-vous les amener à en acheter encore plus? Vous leur montrez des modèles avec un corps parfait qui portent votre produit en zoomant sur des entrejambes curieusement énormes, alors qu'ils sont trempés et qu'ils se touchent les uns les autres», écrit-il.
Cette pression n'est pas sans conséquence. «Les troubles alimentaires sont 10 fois plus présents chez les gais que chez les hétérosexuels, indique Howard Steiger, directeur du programme des troubles de l'alimentation à l'Institut Douglas. En moyenne, un tiers des hommes qui ont un trouble alimentaire s'identifient comme gais.»
«Il y a encore beaucoup à comprendre, dit le spécialiste. L'explication liée au modèle socioculturel est la plus acceptée. On présume que la culture gaie met plus l'accent sur l'apparence. Les effets: plus de poursuite de minceur, plus de conditionnement physique, etc. Ces facteurs augmentent le risque de développer des troubles de l'alimentation.
«On sait, d'autre part, que plus une personne - un homme ou une femme - manifeste des intérêts considérés comme «traditionnellement féminins», plus les risques de troubles de l'alimentation augmentent», ajoute Howard Steiger. Les hormones seraient même mises en cause. «Les théories sont spéculatives et la documentation là-dessus est très confuse. Mais on sait que les femmes qui sont plus exposées à l'oestrogène sont associées à un risque plus élevé d'anorexie nerveuse. Est-ce que cela pourrait être le cas chez les hommes? Possiblement, mais on ne sait pas.»
Dans Gay Men Don't Get Fat, Simon Doonan parle surtout de style et aborde la quête de la minceur avec humour. Mais comme il l'écrit, «les généralisations cachent toujours des parcelles de vérité».
Source:
Sophie Allard
La Presse

jeudi 2 février 2012

Lady Gaga veut tomber enceinte d'un italien !

Lady Gaga veut tomber enceinte d'un italien !
 lady gaga radio ibiza


Lady Gaga n'a jamais caché son désir d'avoir des enfants dans les prochains temps. Mais la chanteuse ne veut pas n'importe quel bambin et serait donc en recherche active pour trouver un donneur de sperme de nationalité italienne.

Depuis quelques temps, Lady Gaga est officiellement en couple avec Taylor Kinney. La chanteuse l'a déjà dit dans des interviews, elle veut des enfants. Et pas dans dix ans ! Mais ce n'est pas parce qu'elle est en couple que Gaga laisse de côté certaines autres options, à savoir l'insémination artificielle. Oui, même en couple, Lady Gaga serait du genre à faire un bébé toute seule.

"Je veux un enfant d’un donneur Italien – si possible Sicilien", a déclaré la jeune femme dans une interview pour la radio espagnole Radio Ibiza. Les médias locaux se sont alors empressés d'interroger le Daily Mail, qui en savait un peu plus au sujet de Severino Antinori, spécialiste italien de l'insémination artificielle. Mais même harcelé, le médecin est resté ferme sur ses principes : "Je ne parle pas de mes patients" a-t-il seulement déclaré.

Peut-être Lady Gaga veut-elle seulement revenir à ses origines, elle qui avant de s'appeler Lady Gaga, se nommait tout simplement Stefani Germanotta. La jeune femme a un père italien, de la région de Naso, en Sicile.

les serial fucker - Top 10 des légendes sexuelles vivantes du show-biz et du sport,



C’est samedi, le jour du « sèsque ». Il est parfois difficile d’avoir une vie sexuelle débridée quand on a un emploi qui ne fait pas rêver. Les relations au bureau peuvent conduire à des problèmes et on prête aux artisans-plombiers un succès auprès des femmes qui n’est pas toujours vérifié. En revanche, quand on est une vedette, du cinéma, de la chanson ou du sport, tout devient plus simple. Si le basketteur Wilt Chamberlain ou la star du porno-à-moustache John « Holmes » Curtis Estes nous ont quittés, certaines célébrités sont encore actives et continuent à affoler les statistiques. Le classement des serial niqueur

1 Warren Beatty, 12775 conquêtes
« Vous étiez une actrice à Hollywood dans les années 70? », « Oui », « Donc vous avez couché avec Warren Beatty?« , « Euh… non…« , « Donc vous n’étiez pas actrice dans les années 70…« , « Ben si…« . Coucher avec Warren Beatty, c’est automatique.

2 Charlie Sheen, 5000 (à 2OO près)
Soit une moyenne de 4,61 par semaine. Le tout en tournant plus de 50 films et quelques séries. Impossible à moins de grouper les relations. En tout cas, belle santé.


3 Gene Simmons, 4800
Gene ne partait pourtant pas gagnant : le rôle de bassiste n’a jamais été synonyme de statistiques ahurissantes au plumard. Mais quand on n’a que 4 cordes, il faut compenser avec autre chose, et le Démon de Kiss peut compter sur 17 cm de langues permettant d’envisager diverses fantaisies.


4 Julio Iglesias, 3000
qu’il ne nous raconte pas qu’il ne l’a pas cherché : les yeux fermés, la main devant l’abdomen, le parfait attirail du séducteur latino… en tout cas la recette est payantes et 3000 femmes ont pu s’assurer que lui non plus, il n’a pas changé.

5 Engelbert Humperdinck, 3000
Ce nom ne vous dit rien? Attendez le CV du bonhomme : crooner britannique né en Inde empruntant le nom d’un compositeur allemand, il a empêché aux Beatles d’être numéro Un avec « Strawberry Fields Forever », il était le pote d’Elvis et lui a donné l’idée de porter des rouflaquettes. Une chanson reprise par Mireille Mathieu, une autre par Joe Dassin. Qu’est ce que vous voulez de plus? Un CV comme ça, c’est 3000 femmes en un claquement de doigts.


6 Ilie Nastase, 2500
Le charme roumain à l’état pur. Assurant le show sur les courts de tennis, le cheveu soigneusement négligé, Ilie affiche une classe folle et sait profiter de ses années de liberté avant d’épouser en 3èmes noces sa compatriote Amalia Teodorescu, mannequin et de 30 ans sa cadette.

7 Jack Nicholson, 2000
Jack le sait mieux que personne, quand on tient des statistiques pareilles, on fait parfois n’importe quoi. Par exemple, tromper sa femmme avec la meilleure amie de sa fille. Mais on fait aussi parfois des trucs sympa, comme par exemple entretenir une relation avec Lara Flynn Boyle, la vénéneuse Donna de Twin Peaks.

8 Lemmy Kilmister, 1200
Le bassiste de Motorhead n’a pas la langue de son confrère de Kiss, mais il peut compter sur un moustache qu’aucune star du porno des 70′s n’aurait renié. Lemmy aurait débuté la guitare parce qu’il considérait cet instrument comme un « aimant à chattes ». Classe.


9 Earvin « Magic » Johnson, 1000
Un surnom qu’il ne devait pas seulement à ses performances en NBA. Mais Magic aura, dans ces multiples débats d’après match, été négligeant au moins une fois puisque le basketteur se verra contrôlé positif au VIH au début des années 1990.

10 Bill Wyman, 1000
Encore un bassiste. Décidément, on pensait cet instrument peu compatible avec une sexualité débridée et nous avons ici l’ami Bill, le seul membre des Rolling Stones dont personne ne se souvient, qui restera dans l’Histoire essentiellement pour ses performances au plumard. Encore une bonne raison de se mettre à cet instrument.

Et vous, vous tenez des statistiques?


Source

Ronan (Rédacteur chez Topito)

mercredi 1 février 2012

« Elles » AVEC Juliette BINOCHE UN film de Malgoska Szumowska

Juliette Binoche dans le fim de Malgoska Szumowska

« Elles » : Prostitution étudiante, nouvel emploi jeune ?










 affiche du film Elles avec Juliette Binoche

La sortie du film « Elles » de Malgoska Szumowska sur la prostitution étudiante, nous amène à nous pencher à nouveau sur les questions sous-jacentes aux différentes formes de prostitution. Faut-il laisser se développer l'emploi jeune dans la prostitution dans les années à venir ?



Le film de Malgoska Szumowska nous raconte l’histoire d’une journaliste qui découvre un phénomène très actuel. Quelques milliers d’étudiantes chaque année entrent dans une prostitution plus ou moins temporaire soit pour payer leurs études, soit pour accéder à un niveau de vie supérieur. Le phénomène est bien connu. Il existe depuis des années, seule différence, il est en forte croissance.

Ce film nous parle de sexualité, de désir, de plaisir seule ou à deux, d’évolution de la demande et des pratiques. Après 5 siècles de chape de plomb, la sexualité épanouie reste à trouver pour certains. Juliette Binoche, par ces rencontres avec ces filles plus libérées qu’elle, se trouve questionnée dans ses propres pratiques sexuelles et désire aller plus loin. Les voyages dans le plaisir sont illimités et intemporels.
Juliette Binoche colle au personnage construit avec la réalisatrice Malgoska Szumowska, celui d’une femme mariée qui s’interroge : « Qu'est-ce qu'une femme ? Qu'est-ce que sa sexualité ? L’amour ? Quelle est sa peur ? Quels sont ses jugements ? La prostitution ? Le plaisir ? La jeunesse ? Qu'est-ce qui excite ? Qu'est-ce qu'être mariée ? Avoir honte ? Qu'est-ce qu'être bloquée, choquée ? Qu'est-ce qu'être une mère de famille ? Une journaliste ? »



Le film nous parle d’une prostitution consentie. La réalisatrice et l’actrice ont confié l’évolution de leur état d’esprit quant à cette question, au fur et à mesure de leurs rencontres avant le film et des réactions des étudiantes actrices pendant le tournage. D’une vision initiale réprobatrice, elles évoluent vers une compréhension, et sans doute approbation, « si elles le choisissent vraiment. ». Elles ouvrent ainsi un débat.

L'argent peut-il se substituer au désir ?
Oui, vous disent les actrices de ce film, et quelques militantes prostituées syndiquées, « on a du plaisir avec nos clients. » Non, vous disent la plupart des prostituées. Le documentaire de Jean-Michel Carré, « les travailleuses du sexe » est sur ce point sans ambiguïté : on n'entre pas en prostitution comme en médecine. Il faut être capable d’avoir un rapport désacralisé à son corps et à sa sexualité en échange d'argent. Les psychiatres qui interviennent auprès de prostituées nous parlent de ce qu’est le corps et de ce qui est fait à ce corps : nous sommes notre corps, corps physique, psychique, symbolique, vu par soi, vu par les autres, mémoire inconsciente. Et cet acte sexuel non désiré par une émotion, avec quelqu’un qu’on ne connaît pas et qu’on n’aime pas, conduit à une dissociation interne.

Alors, est-ce si difficile de se dissocier, pour beaucoup d’argent ?
200 euros la passe, il n’en faut pas beaucoup pour satisfaire une étudiante au début. L’être humain peut s’habituer à tout, mais à quel prix ? Déshabiter son corps est difficile et laisse des séquelles dont on ne se débarrasse jamais nous disent d’anciennes escortes : « Je me lave encore parfois à l’eau de javel. » Et combien entraînées dans un engrenage s’arrêteront ? Cela conduit aussi à la question de la place de l’argent dans nos rapports humains, qu’est-ce qui a plus de valeur que l’argent et pourquoi ? Nous ne parlerons pas de la prostitution de survie, devant laquelle nous sommes sans réponse sinon sociale, combien de mères consentiraient à se prostituer si elles ne voyaient plus d’autres solutions pour nourrir leur enfant ?
Un sondage organisé en Angleterre par Durex posait la question du prix pour lequel on consentirait à se prostituer. Même pour un million d’euros, plus de 50% des personnes interrogées répondent non. Si l’argent permet de presque tout acheter, encore une majorité s’applique la devise croate « même pour tout l’or du monde, ma liberté n’est pas à vendre. »

Choix et libertés
Ce film est donc intéressant parce qu’il pose la question de nos choix individuels et collectifs. Dans une société mondialisée dans laquelle les limites géographiques, technologiques, éthiques, tendent à disparaître, chacun sera de plus en plus responsable de ses choix individuels.
Sur le plan collectif, voulons-nous d’une société dans laquelle 20% à 30% des étudiantes en précarité, et autant avides de réussite, passent à l’acte et se prostituent ? Les chiffres précédents sont les proportions actuelles de ceux et celles qui pourraient envisager de se prostituer ou comprendraient ce choix, selon différentes études en Europe (2). Accepterons-nous bientôt 300 000 emplois jeunes dans la prostitution, par perte des valeurs collectives fondatrices de notre pacte social, au nom d’une conception de la liberté minimale que peu souhaitent à ceux qui leur sont chers ?

Enfin on ne peut pas penser la question de toutes les formes de prostitution en dehors d’un contexte social. Une étude de l’OMS (3) développe le lien existant entre le développement des violences sexuelles et l’absence de droits et de limites, collectives, communautaires, familiales et personnelles. Sans la défense de l’Etat de droit, de l’égalité des hommes et des femmes, l’apprentissage du respect, les violences sexuelles se développent.
Il faut arrêter de fantasmer sur la prostitution et vivre sa sexualité en la découvrant si nécessaire. Ce film nous permet de reposer ces questions et de fonder nos réponses sous un éclairage enrichi. </div>

Delicious Facebook Digg Stumbleupon Favorites More