mardi 10 mai 2011

Jade Laroche, la star du X français nous dit tout

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mercredi 4 mai 2011

L’éjaculation féminine




L'éjaculation féminine a été décrite par Ernst Gräfenberg dès 1950. Mais ce phénomène était déjà mentionné dans des manuscrits indiens du XI  siècle.
Selon Voltaire, dans L'Homme aux quarante écus, le jésuite Tomás Sánchez croyait « que les deux véhicules fluides de l’homme et de la femme s’élancent et s’unissent ensemble, et que dans le moment l’enfant est conçu par cette union », partageant en cela l’opinion d’Hippocrate. Il souleva ainsi une question théologique qui peut se résumer, en latin, à : Utrum virgo Maria semen emiserit in copulatione cum Spiritu Sancto (« Est-ce que la Vierge Marie a émis une semence en s'unissant avec l'Esprit Saint ? »).
Voltaire remarque qu’« il y a beaucoup de femmes qui ne répandent aucune liqueur, qui ne reçoivent qu’avec aversion les embrassements de leurs maris, et qui cependant en ont des enfants. Cela seul décide contre Hippocrate et Sanchez. »


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L’éjaculation féminine : le principe
La femme soumise à une éjaculation au même titre qu’un homme ?!  Durant plusieurs années ce phénomène était considéré comme un mythe… L’éjaculation féminine se sent très bien, même lorsque le partenaire porte un préservatif.
Lors d’un rapport sexuel, la femme produit un lubrifiant naturel pour faciliter la pénétration du sexe de l’homme. Il faut distinguer ce liquide, le cyprine, de celui expulsé lors de l’éjaculation féminine, lequel se par une augmentation des sécrétions vaginales. Le liquide de l’éjaculation féminine est produit en quantités supérieures à celui du  liquide lubrifiant produit  par les glandes de Bartholin. Les femmes fontaines ont d’ailleurs la capacité d’éjaculer des flaques entières ! Et de vivre des orgasmes, ainsi que des éjaculations, qui s’enchaîne, dans la mesure ou la stimulation perdure bien entendu.
Le liquide produit par l’éjaculation féminine provient des deux petits orifices à gauche et à droite du méat urinaire. Ce fluide est également différent des autres sécrétions émises près du vagin ou de la vulve, telles les sécrétions lubrifiantes des glandes de Bartholin. Ce liquide est expulsé vers l'extérieur du corps de manière réflexe quand l'excitation est très forte.
Beaucoup de recherches ont été faites à propos de la nature de cet éjaculat pour essayer de prouver que celui-ci n'est pas de l'urine, en mesurant notamment les quantités d'urée, de créatine, de phosphatase acide, d'antigène prostatique spécifique,1 de glucose et de fructose qu'il contient. Cependant, les résultats restent contradictoires.

Gary Schubach par exemple a recruté des femmes éjaculant en grande quantité, puis leur a inséré un cathéter dans l'urètre jusqu'à la vessie. Quand ces femmes ont atteint l'orgasme en se masturbant, dans tous les cas, un grand volume de liquide est sorti par le cathéter, et dans quelques cas un peu de substance nacrée est sortie en dehors du cathéter. La conclusion de cette expérience est que l'éjaculat des femmes fontaines est principalement de l'urine, parfois accompagné d'une faible sécrétion des glandes de Skene.
D'autres études évoquaient le rôle de la « prostate féminine », les glandes de Skene, glandes diffuses situées entre le vagin et l'urètre. Certains spécialistes concédaient à cet éjaculat toutes les caractéristiques du sperme, sauf la présence de spermatozoïdes.

Vivre l’éjaculation en tant que femme
Certaines femmes expérimentant cette éjaculation se sentent gênées, car le liquide libéré mouille les draps et peu laisser des traces…  Cette éjaculation est le fruit du plaisir et en ce sens il n’est nul besoin de la contrôler, ni d’en avoir honte ou de sentir une gêne ! Il est important de laisser le corps réagir aux instants de bonheur ressenti lors du rapport sexuel ! Si besoin, mettre une serviette…
Il peut être nécessaire d’expérimenter de nouvelles positions avec le partenaire, ou encore seule à l’aide de la masturbation ou d’un godemiché pour stimuler le point G. Il ya effectivement des positions qui favorisent la circulation sanguine dans les parties génitales pour produire une excitation supérieure. Cependant, l’éjaculation n’est pas une réponse automatique à cette excitation. L’éjaculation féminine est vraiment l’extase de l’orgasme. Il faut également prendre du recul avec les éjaculations féminines des films x, où l’abondance est parfois soutenue par de l’eau ou de la bière !
L’abondance de l’éjaculation féminine peut varier, selon la production de la prostate de la femme. Toutes les femmes ne connaissent pas un jet ou une explosion de liquide quand elles éjaculent. Une bonne stimulation du point G est requise.

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